Vous n’avez pas le droit au désœuvrement et à l’indolence. Vous n’avez pas non plus le droit au mal-être et à la pauvreté. Vous avez le droit au bonheur, à la santé, à la richesse, à l’élégance et à la beauté. Pourquoi donc me demanderiez-vous? Mais c’est tout simplement parce que tout cela dépend de vous. Si cela dépendait des autres ou des circonstances extérieures, vous auriez assurément le droit d’avoir des doutes. Mais puisque tout cela ne dépend que des pensées que vous entretenez chaque instant de votre existence, vous n’avez donc pas le droit de vivre une vie malheureuse. Rappelez-vous que quand vous vous dites que vous pouvez, les portes de votre cerveau qui peuvent s’ouvrent et que quand vous vous dites que vous ne pouvez pas, elles se ferment. Le choix que vous ferez vous fera toujours que vous le vouliez ou non.
3